Inspiration
On la peaufine depuis des mois, à coups de joie, de rythme et de lumière. Così Fan Tutte nous entraîne d’un pas léger et rieur vers la beauté d’une arrière-saison qui tire doucement vers le renouveau. Au cœur de l’hiver, The Socialite Family a ressenti le besoin si essentiel de joie et de lumière.
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Così Fan Tutte
Les amateurs d’arts décoratifs le savent bien : les meubles parlent. Ils échangent discrètement entre eux, dans un chuchotement d’étoffe froissée, dans un cliquetis de métal ou un ronronnement de bois qui bouge. L’écrivain et dessinateur Philippe Jullian ne s’y trompait pas, lorsqu’il publiait en 1959 ses Mémoires d’une bergère, dans lesquelles un fauteuil Louis XV traversait joyeusement les époques et partageait ses réflexions au coin du feu, à l’hiver de sa vie. Les meubles parlent, donc, et s’accordent les uns aux autres par une volonté qui leur est propre. N’avez-vous jamais remarqué qu’un guéridon refusera tout net la présence de telle lampe ? Que tout à coup, un ensemble en apparence éclectique peut se révéler plein de sens ? Pour sa nouvelle collection, The Socialite Family fait, aussi, parler et même sourire les meubles. Et se livre à un joyeux jeu de dupes à l’image du drama giocoso – drame ludique – de Mozart, Cosi fan tutte.
De cette œuvre tragicomique rappelant la farce italienne et le vaudeville, on retient les airs allègres, sautillant de note en tempo. À l’ouverture, les huit premières mesures sont lentes mais fortes et théâtrales, comme les coups de bâton annonçant le début d’une pièce. Le décor est posé, suivi du thème de Cosi fan tutte, andante. La suite se joue presto, répondant au tourbillon sentimental qui met les personnages de l’opéra en effervescence. Le contraste est permanent entre les nuances forte, piano, subito : la musique bondit avec légèreté et contraste.
Pour sa nouvelle collection, The Socialite Family fait, aussi, parler et même sourire les meubles. Et se livre à un joyeux jeu de dupes à l’image du drama giocoso – drame ludique – de Mozart, Cosi fan tutte.
Au cœur de l’hiver, The Socialite Family a ressenti le besoin si essentiel de joie et de lumière. Suivant le tempo entraînant et léger du compositeur virtuose, les nouvelles pièces de notre intérieur se placent et dialoguent dans un jeu de reflets répondant à celui des notes, synonymes de rire et d’allégresse pour Constance Gennari, fondatrice et directrice artistique de la maison.
Jeux de rythmes, jeux de lumière… et jeux d’attente : dans une belle demeure aux lambris de bois, sise au milieu d’un parc romantique, on passe d’une pièce à l’autre en glissant le pied, on s’allonge pour rêver sur le canapé
dont le dossier ajouré laisse passer la si rare lumière hivernale, quand, d’empressement, on se dresse pour tirer les rideaux, ouvrir les fenêtres, faire entrer la lumière puis faire volte-face, arracher un grain de raisin sur la table au marbre brillant
s’asseoir et se relever…
Jeux de rythmes, jeux de lumière… et jeux d’attente : dans une belle demeure aux lambris de bois, sise au milieu d’un parc romantique, on passe d’une pièce à l’autre en glissant le pied
À cette danse de l’impatience – impatience du printemps qui ne devrait plus tellement tarder ? – répondent les clins d’œil d’un mobilier qui s’amuse tantôt à exciter l’œil – tel reflet de lumière dans le vase
ou le miroir
, tel éclat en provenance de la loupe d’orme vernie plaquée sur la table basse
, tel scintillement d’un œillet métallique du banc
–, tantôt à encourager la songerie, confortablement installé au coin du feu, enveloppé dans un plaid
et blotti dans une
. Souriez : vous attendrez le printemps en bonne compagnie.
Così Fan Tutte c'est tout cela à la fois
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